Je sais, je n'ai pas pris le temps de gratter quelques mots sur ce clavier et j'ai entendu récemment sur France Inter le leader du groupe I Muvrini dire : « la vulgarité aujourd’hui, c’est de ne plus prendre le temps de rien », je trouve que cette pensée mérite attention donc, mea culpa.
Tiens, dans la série comment va l’Empereur Sarko 1 , je livre en pâture au peuple cette phrase de sa Majesté : le 20 décembre à St Jean de Latran, Nicolas Sarkozy a affirmé : « dans la transmission des valeurs et dans l’apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l’instituteur ne pourra jamais remplacer le pasteur ou le curé, parce qu’il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d’un engagement porté par l’espérance »
Je pense qu’il est temps de rétablir le pouvoir de droit divin, je vois bien Hortefeu comme grand ordonnateur de la sainte inquisition.
vendredi 11 janvier 2008
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1 commentaire:
"Nos jeunes maîtres étaient beaux comme des hussards noirs. Sveltes, sévères, sanglés, sérieux et un peu tremblants de leur précoce, de leur soudaine omnipotence" (Charles Péguy)
S'ils ont un peu pâli, les hussards, c'est qu'on ne leur donne plus les moyens moraux et matériels d'exercer leur sacerdoce (car c'en est un). Ils n'ont plus droit à la reconnaissance que la 3° République leur accordait. Et malheureusement j'ai peur que l'ère Sarkozienne ne savonne encore plus la pente.
Moi je dis chapeau les collègues. Continuez à vous investir dans ce métier difficile, épuisant, phagocytant, mal reconnu mais tellement passionnant. (Tu sais de quoi je parle Denis)
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